Ses idées noires (pv Lavande et Biscotte)

Alors qu’a Poudlard, en cette froide nuit d’hiver, les Serpentard étaient restés enfermés dans leur salle commune, ou la plus part vaquaient à leurs occupations, ou jouaient aux échec version sorcier, un seul d’entre eux, était dehors. Dehors, dans les ténèbres. Un seul d’entre eux était resté dans le froid, sans doute pour méditer malgré le couvre feu.
La jeune héritière, s’était recroqueviller sur elle-même, dans un petit pavillon contigu au lac Noir. Voilà plus d’une heure qu’elle tenait cette position. Mais elle, ne prenait même plus le temps de compter les minutes qui passaient, plongeant ainsi dans son mutisme, là ou personne ne pouvait plus la sortir, à par elle. Mais Elina le ferai, quand elle aurait décidé que s’était le moment propice. S’était un peu comme descendre dans une mine. Allé au plus profond d'elle-même. Trouver ses limites.
Comment chasser ses idées noires ? Alors qu'Elina avait l’impression que toutes les fibres de son être s’était imprégné de magie noir. Pourquoi avait-il ouvert ce foutu livre ? De toute façon, elle ne pouvait s’en prendre qu’a elle-même. Puis, tout doucement, ses idées le menèrent d’elle-même vers sa mère sorcière. Elle ne savait pas quoi faire pour elle. Elle était sous potions et suivit par un médicomage depuis l’enfermement de son frère à Askaban. Mme Brown semblait ne plus avoir de vie, ni d’espoir. Elle se laissait mourir. Elle avait perdu sa vie, le jour de son mariage, elle avait perdu son mari le jour ou Voldemort était apparu, elle avait perdu son fils. Puis elle c’était perdu elle-même, et ce qui lui restait s’étaient ses filles. Ses si belles filles. Mais pourtant, Lavande avait béni sa mère. Peut être qu’en elle elle s’était retrouvé, elle. Elina, toujours au plus profond d'elle même n'entendit pas le vieux planché usé, grincer quand quelqu'un entra.

Dans la tour de Gryffondor, chaque élève de la maison Gryffondor était réuni dans la salle commune. Tous les élèves riaient, bavardaient et s' amusaient. Tous, sauf une. Au coin de la chaleur du feu de la cheminée, Le nez collé contre la fenêtre, des empreintes digitales imprimé sur la vitre propre, par les doigts aux ongles soigneusement limés, l' élève regardait au dehors. Dans le ciel, des flocons de neige retombait des nuages grisâtres. Cette vue ordinaire d'un hiver froid, faisait ressurgir des images du passé. Un an au paravant, Lavande avait passé l' hiver au près de sa mère.
Elle revoyait cette scène au début de l'hiver, où sa mère était appuyé contre la fenêtre, observant la vue exterrieur. La jeune fille était à ses côtés, faisant de même.
Ce jour là, il avait commençé à neige, montrant les premiers flocons symbolique du froid hivernal.
- J' avais prévu qu' il allait neigé !
avait dit mrs Brown.
Lavande regardait sa mère avec tendresse.
- Sais-tu ce que devient la neige ?
demanda miss brown à sa fille.
- Ben elle fond pour devenir de l' eau. Tous le monde c'est ça.
- Bouhbouhbouh !
fit-elle en faisant des moues avec sa bouche.
Ce geste était puéril, mais pas sur cette femme. Au contraire, cela la rendait si mignone. Elle se tourna vers sa fille et lui dit alors :
- La neige disparait car elle devient le printemps. Moi j' adore le printemps. C' est ma saison préféré !
Elle avait ajouté ça en souriant de tous son coeur. Un sourire si doux, montrant deux adorables faussettes.
Ce souvenir n' avait rien de spécial, il était attendrissant, et à la fois si douloureux. Madame Brown était tombé malade. Lavande savait qu' elle dépérissait de jour en jour.
Les élèves de sa maison faisaient un tel boucan, qu' il n' était même plus possible de penser. La jeune fille n' en pouvait plus. Elle enfila son écharpe, ses bottes et son manteau et quitta la tour de Gryffondor. Elle descendit les escaliers de marbres, parvenant à se hisser dans le hall sans faire de bruit, et réussit à se faufiler au dehors. Dans le parc, elle retrouva le silence et la fraicheur du temps. Elle laissa ses souvenirs la summerger. Lavande avait hérité la sagesse et le charisme de sa mère. L' image de celle-ci retrottait dans sa tête.
Elle la voyait debout devant elle, ses yeux noisettes la regardait avec amour, avec un sourire malicieux dessiné sur ses lèvres, et ses cheveux bruns retombaient sur ses épaules.
- Fais comme tu peux Lavande, à ton rythme.
lui répétait-elle si souvent avec douceur.
L' adolescente traversa le parc, contourna le lac Noir, et se rendit dans le pavillon, un de ses repères préféré. A l'interrieur il faisait beaucoup plus chaud.
Elle apperçut une jeune fille, recroquevillé sur elle-même. Elle alla la voir, faisant craquer le vieux plancher sous ses pas.
- Elina ?
s' étonna Lavande lorsqu' elle reconnut le visage de son interlocutrice.

Les épaules de l'héritière trésaillaient depuis un long moment déjà. Mais la jeune Brown ne s'occupait guère des larmes qui coulaient sur ses joues ambrées. La, seule dans le froid hivernale, avec cette désagréable impression d'étouffer dans le noir...Elle replongea dans son passé, au temps ou l'enfance était bénis, loin des peines de coeurs, loin des railleries, de la violence, loin du monstre qu'elle était devenu. Un temps ou pour elle la magie n'était que bénéfique, ou tout ça n'étais qu'un jeu. Et surtout ou sa mère Lavande et elle étaient si proches...

Depuis déjà trois jours, la neige tombait du ciel , recouvrant ainsi de son grand manteau blanc les ruelles, les toits et les voitures de Londres. Pourtant, dans le grand manoir des Brown la magie était aussi présente que des empruntes dans la neige. Tout le monde s'activait. Il y avait des elfes partout ! A croire qu'ils poussaient comme des pâquerettes disait Mrs Brown. Il y avait, des elfes aux fourneaux, d'autres en train de ranger le grand salon, d'autres en train d'accrocher les décorations de Noël, d'autres dans la bibliothèque. Avec toute cette effervescence, même la nuit, on aurait dit que le manoir était vivant. A l'exception d'une seule pièce. Oui, une seule pièce avait été épargnée. C'était la chambre la plus lumineuse de leur immense demeure : les murs étaient en bois blanc, finement incrusté de dorure, et ou avait été accroché divers peinture plus belles les unes que les autres. Les fenêtres, elles aussi en bois blanc, donnait sur un balcon ou des roses rouge-sang plantés dans des pots avaient été posés. Mme Brown venait souvent les admirer avec ses filles. Elle leur disait toujours " Oh vous verrez mes chéries, pour l'instant ce ne sont que des boutons...et regardez ces deux là...Ils sont en retard, pourtant quand ils s'ouvriront, ils seront les plus beaux de tous". Il y avait tellement de douceur dans sa voix. Tellement d'amour. Comment, avec le recul des années, ne pas en pleurer ? C'était dans cette pièce même qu'était né Elina, puis Lavande un an plus tard. Elles passaient des heures entière à jouer avec leur mère. A se laissé bercer par ses beaux contes, par ses conseilles et recommandations qu'aucune des deux filles n'oublieraient. L'énergie qui habitaient les deux héritière, s'était Mrs Brown qui la leur donnait. Cette rage de réussir. Mais pourtant, toutes deux avaient hérité de la douceur de leur mère. Oh ! Pourquoi fallait-ils qu'elles aient grandi ? Pourquoi Elina avait tout gâché ? pourquoi était-elle partit se réfugier chez son père, puis s'impreigner tout doucement dans la magie noire ? Comment avait-elle pu ?

L'héritière remontait tout doucement vers la surface. Ou plus exactement, dans la vie réelle. Elle entendait encore Mrs Brown dire " Tu sais Elina, les souvenirs, c'est beaux, c'est important, mais on ne vit pas dedans". Pourtant, la personne qu'elle avait en face d'elle n'était pas sa mère. S'était Lavande. Elina acquiesça. Tout les mots qu'elle avait voulu prononcés étaient mort dans sa gorge.

*C'est toi qui avait raison Maman. On ne doit pas vivre dans le souvenirs des amours passés. Et quand je reviendrai je tomberai peut être dans les bras d'un beau brun... Qui sait.*

( lol tu t'es inspiré de Mulan pour les roses ^^ ! Dis-donc, je ne sais pas ce qu' on a, mais on fait que d' écrire des pavés de textes !)

Lavande s' approcha d' Elina et s' agenouilla en face d'elle. Les yeux de celle-ci étaient embués de larmes. Tel un vase, les gouttes débordèrent et se perlèrent sur sa joue. La Gryffondor passa délicatement un doigt sur les paumettes de sa soeur et essuya ses larmes.
- Tous les jours avec toi, nous ferons un nouveau pas, même s' il semble que nos rêves soient parties...
lui avait dit un jour sa mère.
- Je pense que tu le sais déjà, mais notre mère est entrain de mourir.
Lavande se rappella soudain la lettre que lui avait envoyé sa mère avant hier.
Elle passa la main dans sa poche et en sortit une envellope. Elle l' ouvrit, sortit la lettre et la tendit à Elina. Dans la lettre, ces mots étaient écrits :

Lavande avait déjà lue et relue cette lettre des centaines de fois, pleurant toutes les larmes de son corps.

Elina s'était saisit doucement de la lettre, comme si s'était la chose la plus délicate au monde et qu'ellee pouvait se briser à tout moment. Elle lu la lettre. La relu, alors qu'elle sentait son coeur s'oppresser dans sa poitrine elle regarda Lavande, peut à peu les mots sortir de sa bouche.

- Tu te souviens, quand on était petites, maman nous disait quand on joueait avec elle: prenez une mesure de courage, un aneaux d'amour et une pièrre de glace éclairée par la flamme éternelle de l'espoire. Le courage, je l'ai eu en venant te retrouver ici. Un aneaux d'amour, quand on c'est pardonné. Et la pièrre de glace illuminée par la flamme éternelle de l'espoir, s'était l'espoir qu'elle guérisse un jour.

Elle leva la tête vers sa soeur. Certainement qu'elle s'en souvenait. Etant petites elles avaient toutes les trois tout partagé.

[ dsl pour le petit texte je me ratraperai...a et j'adore le poème c'est toi ki l'a écrit ?]

Lavande souria aux paroles de sa soeur. Biensûr qu' elle s' en souvenait. C' était l' une des choses les plus merveilleuses que leur disait leur mère. Elle s' assied à côté d' Elina.
- Biensûr ma chère Elina, et comment !
Elle passa une main autour du cou de sa soeur et déposa un bisou, tout mignon, tous doux, sur sa joue. C' était en gage de leur amitié et de leur amour. Un amour entre deux soeurs. Un silence s' installa. Lavande se releva. Elle alla chercher une bougie allumée, qui était posée sur une vieille table en bois. Puis elle revint s' asseoir au près de sa soeur. Elle plaça sa main horrizontalement au dessus de la chandelle (genre Devdas^^) et lui dit :
- Tu vois cette bougie ? Elle est comme toi ! Sa chaleur elle est là, elle brille et me réchauffe le coeur. Ta chaleur à toi est comme cette bougie.
Elle lui souria un sourire sinçère.
- Et si on faisait un voeu pour notre mère ?
proposa la jeune fille.
A ces mots, elle croisa ses mains, en signe de prière et ferma les yeux.Son esprit partait ailleurs, le coeur blesser. Elle avait essayé de ne pas pleurer. Mais comment faire pour ne pas oublier les yeux de sa mère ? Elles étaient deux, et bientôt Miss Brown ne serait plus là. Mais Lavande avait besoin d' elle. Juste un moment. Pour respirer son doux parfum.
* Ne me laisse pas tomber. Tu me manqueras. Tu resteras la douce lumière qui éclaire mes nuits, quand je serais seule. Toi mon espoir, espoir dans le noir.*

Elina se laissa aller dans les bras de sa petite soeur. C'était plutôt ironique, en sachant qu'Elina était quand même plus grande que Lavande. Puis, comme elle était revenu, Lavande repartit et alla cherché la bougie. Elina sourit en la oyant joindre ses mains pour prier. C'était trop mignon ! Mais l'heure était grave.

- Oui tu as raison. Fait un voeux et prit pour elle.

Elina ferma les yeux. Joignant ses mains comme Lavande, elle attrapa le médaillon autour de son cou, qui ne l'avait jamais quitté. Une photo d'elle trois.

* Je vous en prie, faite que nous nous réunissions encore autour de cette table. Moi Lavande et maman*

Elle serra ses mains plus fortement, son ongle glissa sur la peau de sa main droite et l'écorcha, faisant couler quelques gouttes de sang.

* Faite que même dans la mort, maman trouve son bonheure, qu'elle continu de veiller sur nous*

Lavande souria interrieurement. Elle avait souhaité tous les bonheurs pour sa mère. Elle rouvrit doucement ses paupières. Elle mit sa main contre son coeur, comme si elle voulait préserver chaque instant en elle. Ses yeux glissèrent sur la photo. La jeune fille la prit dans ses mains et la contempla. Le temps bénis où jadis, ils formaient encore une famille complète. Mais Lavande avait sa soeur, et c' était la seule chose qui comptait à ses yeux à présent. Un autre souvenir emporta les pensées de l' adolescente.
C' était un soir de noël. Quand elle avait six ans.Mais ce soir-là, Elina était au bord de la crise des nerfs. Lavande était venue la voir, pour la calmé. Au début, sa soeur refusait de l' écouter et lui boudait à moitié. Lavande passa alors ses mains sous les esselles d' Elina et commença à la chatouiller. Celle-ci commença à rire. Elle avait prit son coussin, et lui avait donné un petit coup sur la tête. C' était ainsi que la soirée c' était terminé en bataille de polochon. Et qu' à la fin, la maison avait été recouverte de plume blanche...
- Dis, tu te rappelles q...
Mais soudain la porte s' ouvrit. Un jeune homme blond au visage blafard entra.
* oh non ! Qu'est-ce qu' il vient faire là ce bouffon de service ? *

Et le jeune homme était.... Tatataaaaa.... un 'tit suspense de trois secondes... :
Drago Malefoy! Et oui, le beau, le magnifique Drago venait d'entré dans la place, avec classe!
Revenons en à nos hyppogriffes:
Drago apparut près des deux jeunes filles et leur fit un sourire moqueur. Il s'avança vers elles, tout en leurs disant:

- Tiens, tiens, tiens... Les deux soeur Brown, ensemble, entrain de se raconter des souvenirs comme des vieilles grand-mère. Vous devriez être couché à cette heure ci...

Il eut un petit rire, puis il posa son pied sur une pierre et regarda les deux filles.

Lavande se demandait ce qu' il faisait ici, à une heure pareille. Le monde était peuplé de crétin , sans qu' il y est besoin un autre de plus ! La jeune fille se releva et s' avança vers Drago d' un pas menaçant.
- Hahaha ! Mais c' est qu' il a de l' humour le petit bout de chou !
répliqua t-elle d'un air sarcastique.
- Ce qu' on fait ici en une heure pareille ne te regarde pas ! alors sois blond et tais-toi !

Elina regarda sa soeur s'emporter contre le gars. A lalala décidément, il fallait vraiment tout faire ici ! Si Lavande pensait que s'était de cette façon, qu'on rentrait les crochets de ce foutu de richisisme et sexy Malefoy ! Oui, biensur, comme tout sorcier, elle avait entendu parlé de la "Grande famille de Sang-Pur" qu'était les Malefoy. Elle se leva posa la main sur l'épaule de sa soeur, histoire de lui faire comprendre qu'il ne fallait s'engager sur ce térrain là. Trop glissant...

Elle tourna la tête de côté, alors qu'un sourire goguenard s'installait sur ses lèvres.

- On pourait te retourner la question.

Drago sourit un peu plus et répondit aux jeunes filles:

- Je n'ai rien à cacher, moi. Je fait simplement ma ronde de nuit, puis je remarque que deux personnes devraient être dans leur lits mais qu'à la place, elles sont entrain de papoter dehors.

Il proposa:

- Punition pour Lavande et un raccompagnement dans la salle commune pour Elina?

Lavande fit une moue ennuyer.
- Si tu crois que tes punitions me fais peur... Bon qu'est-ce que tu veux ?
lança t-elle d' un ton agressif.

Le sourire goguenard d'Elina s'élargit. Elle releva le menton, ce qui lui fit prendre un air snob voir supérieur.

- Mon cher Malfoy... Ce serait une abomination que vous vous dérangiez pour moi. Vaquez à vos occupation je vous prie, et je vous prie de laissez ma jeune soeur tranquille.

Drago ignora la remarque de Lavande et éclata de rire à celle d'Elina:

- Mais je suis obligé ma chère Elina, je ne puis vous laissez seule... Il fait noir, et si le professeur Rogue vous voit hors du dortoir, vous aurez des problèmes...

Elle lui rendit son sourire.

- Vous avez raison...Ma chère Lavande, vous devriez en faire de même.

Elle s'approcha de la sortie.

Drago proposa galamment son bras à Elina, puis il dit à Lavande:

- Tu retourne dans ton dortoir. Sinon j'dirais au professeur Rogue que tu m'a pas écouter...

Lavande regarda Drago d' un air vénimeux, tendre son bras à Elina.
* quel don juan celui-là alors...*
- Oui, c' est ça !

Elina regarda sa soeur partir vers la tour des Gryffondor puis reporta son regard sur Drago Malefoy. Elle pensa alors à Crabbe et Goyle. Ces deux là, même pas 17 ans étaient les derniers des crétins. Comment Malefoy pouvait-il les supporter ??? Elle se contenta de sourire.

Lavande se dirigea vers la tour en rumiant. Elle s' arrêta un moment pour glisser un regard vers Drago. Mais Elina et lui la regardaient. Deux taches pourpres apparurent sur les joues de la jeune fille, qui se retourna aussitôt.

Drago avançait avec Elina, et vit le regard que tenta Lavande vers sa personne mais à cause de l'obscurité, il ne vit pas les joue rose de Lavande. Il sourit puis demanda d'un ton ironique:

- Que regarde-tu ?

Il ajouta d'un ton cassant:

- Ne pense pas t'échapper, ta tentative est déja voué à l'échec.

- Je regardais ta superbe tête platinée !
retorqua Lavande sur un ton ironique.
- ouais, ouais, cause toujours !
dit-elle sur un air sarcastique avec un sourire en coin.

Drago sourit fièrement et rétorqua méchament, toujours en marchant aux côtés d'Elina:

- Je sais que je suis beau, mais tes yeux sur ma silhouette gache de ma beauté.

Lavande eut soudain une mauvaise idée. Elle s' avança dangereusement vers Drago. Elle se mit à le regarder intensément.
- Là, je dois encore plus gâcher ta beauté n'est-ce pas ?
dit-elle avec un sourire mauvais en coin.